CUARTETO TAFI – JOURNEE EN SOLIDARITE A SOS MEDITERRANEE

dimanche 25 août à partir de 18:30 - 20:00

Participation libre & solidaire

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JOURNEE EN SOLIDARITE AVEC L’ASSOCIATION SOS MEDITERRANEE

Un coup de cœur, un élan de solidarité : exceptionnellement, l’Ephémère Guinguette a décidé de dédier une de ses journées au profit de l’Association SOS Méditerranée, dont l’objectif est de porter secours et assistance aux personnes migrantes et réfugiées qui traversent la mer au péril de leur vie.

Les bénévoles de SOS Méditerranée seront présents sur le site tout au long de journée, derrière leur stand ou à la buvette, pour expliquer l’objet de l’association, informer le public sur leurs actions et leurs besoins., et recevoir des dons pour les aider à mener à bien leur mission.

Le groupe Cuarteto Tafi qui se produira ce soir-là à 18h30 adhère entièrement et solidairement à l’objectif de cette journée, en venant jouer gracieusement à la guinguette. C’est un groupe talentueux et engagé que l’on se réjouit d’accueillir à nouveau à l’ombre de nos grands chênes.

La guinguette fonctionnera comme à son habitude, elle aura simplement l’œil tourné vers la Méditerranée, au-delà de l’Ariège qui nous borde…

L’intégralité de ce que vous consommerez au bar et de ce que vous mettrez dans le chapeau reviendra à SOS Méditerranée .

CUARTETO TAFI (Fusion Latine)

À la croisée de vents contraires, il a trouvé son point de fuite en Argentine, dans cette pampa riche en styles traditionnels méconnus fleurissant à l’ombre de l’auguste tango. Ayant parcouru ce territoire en explorateurs, puis en virtuoses, nos quatre artistes ont fini par y planter leurs propres graines. Il en ressort aujourd’hui une musique affranchie qui n’appartient qu’à eux, fusion de multiples trajectoire. Leurs chansons sont autant d’hymnes à la vie que des hommages aux grandes causes humanistes qui nous traversent et nous bouleversent : une ode au vent et à la liberté, à la terre et à sa fragile préservation, un chant d’espoir peint de souvenirs et d’exils forcés, un cri d’amour infiniment grand, une angoisse assumée d’un retour d’idées fascistes et une étreinte sincère donnée au Mères de la Place de Mai argentines.